
Catégorie : Policier
H... Comme Hirtmann
⭐⭐⭐☆☆
Ce que j'ai aimé
Le retour du tueur en série que j'apprécie le plus : Julian Hirtmann
Ce qui m'a déplu
Je l’ai attendu. Encore et encore. Et il n’est pas venu. Pas comme je l’espérais. Il a fallu patienter jusqu’aux toutes dernières pages pour entrevoir (presque) ce que je désirais tant : une confrontation tendue, viscérale, entre Martin Servaz et Hirtmann. Malheureusement, cette rencontre attendue de pied ferme ne s’est pas déroulée comme je l’aurais souhaité. Elle m’a laissée sur le seuil, frustrée, un peu trahie.
Mais n’oublions pas que toute lecture est subjective : ce qui m’a laissée sur ma faim pourra très bien en combler d’autres. C’est aussi ça, la richesse des livres.
Mais n’oublions pas que toute lecture est subjective : ce qui m’a laissée sur ma faim pourra très bien en combler d’autres. C’est aussi ça, la richesse des livres.
Je recommande
Oui
Mon avis personnel
Le grand retour… qui se fait attendre
J’attendais ce roman avec une impatience presque fébrile. *H.*… Une simple lettre pour désigner un nom qui, pour moi, résonne avec intensité : Hirtmann. Le tueur en série emblématique de l’univers de Bernard Minier, personnage fascinant, glaçant, obsédant. Après un précédent roman qui m’avait laissée sur ma faim, ce nouvel opus représentait l’espoir d’un vrai renouveau, d’un choc littéraire, d’un frisson retrouvé.
L’enquête, quant à elle, gravite autour de disparitions mystérieuses, anciennes comme récentes, et d’un chroniqueur télé dont la ressemblance avec une personnalité bien réelle ne semble pas anodine (même si toute ressemblance avec des personnages existant n'est que fortuite…). Mais le récit s’étire, s’épaissit de longueurs que j’ai souvent survolées. L’écriture de Bernard Minier, bien que reconnaissable, m’a ici semblé plus laborieuse. Le suspense, lui, peine à s’installer.
J’attendais ce roman avec une impatience presque fébrile. *H.*… Une simple lettre pour désigner un nom qui, pour moi, résonne avec intensité : Hirtmann. Le tueur en série emblématique de l’univers de Bernard Minier, personnage fascinant, glaçant, obsédant. Après un précédent roman qui m’avait laissée sur ma faim, ce nouvel opus représentait l’espoir d’un vrai renouveau, d’un choc littéraire, d’un frisson retrouvé.
L’enquête, quant à elle, gravite autour de disparitions mystérieuses, anciennes comme récentes, et d’un chroniqueur télé dont la ressemblance avec une personnalité bien réelle ne semble pas anodine (même si toute ressemblance avec des personnages existant n'est que fortuite…). Mais le récit s’étire, s’épaissit de longueurs que j’ai souvent survolées. L’écriture de Bernard Minier, bien que reconnaissable, m’a ici semblé plus laborieuse. Le suspense, lui, peine à s’installer.